Une vie calme, mais de malheur.
Causer par un homme inconscient
De vouloir enchainer sa maison.
Elle n'est pas tranquille, et ça persiste.
Ses sentiments ne portent plus son coeur
Perds leurs voies, et se désistent.
Laissant le chemin vide de bonheur.
Un chemin incompréhensible, est escarpé.
Jonché de fleur malheureuse et sans couleur.
Dans leurs yeux, coulent des larmes éparpillées
Blesser dans le fleuve de leur douleur.
Pourtant, sa vie était pleine d'espoir
De voir les fleurs si belles et radieuses.
Même si des fois, les nuages se font voir.
Ses larmes n'ont jamais été aussi pluvieuses.
La mésentente, cette chose hideuse.
Qui porte en elle égoïsme, et jalousie.
Noire ou blanche, elle et toujours odieuse.
Car sans raison, une frénésie.
La peur d'être berné par la liberté.
L'explication, c'est sa fabulation.
De toujours se nourrir d'anxiété
Juste pour faire diversion.
Ne comprend-il pas ses raisons ?!
De vouloir être émancipée
De savoir, d'être dans le présent.
D'avoir un espace, une paix ?!
D'avoir une liberté, sans être accusée ?
De choses qui séparent et divisent.
Et d'ailleurs, peut-il accepter une autre pensée ?.
Sans l'offenser, ni dire des choses insensées.
Quel abîme ! profond et sans fond.
Quelle insensibilité dans cette avidité !
Confondre trahison et émancipation.
Pour donner un fondement à sa raison.
Juste pour qu'elle reste prisonnière
Et vivre avec une muselière.
Sans pouvoir échanger, ni discuter
Avec les gens au nom de l'amitié.
Ah ! l'incompréhension.
Une mésentente, née de l'insensible et de l'indifférence.
Avec une touche d'arrogance.
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